تفصيل المؤلف
مؤلف De Rugy,Marie |
الوثائق الموجودة المؤلفة من طرف المؤلف (1)
Affiner la recherche
La géographie, un outil diplomatique ? Rivalités impériales et collaborations internationales dans le nord de la péninsule indochinoise (fin xix e - début xx e siècles) / De Rugy,Marie in Relations internationales, 167 (Trimestrielle)
[مقالة]
عنوان : La géographie, un outil diplomatique ? Rivalités impériales et collaborations internationales dans le nord de la péninsule indochinoise (fin xix e - début xx e siècles) نوع الوثيقة : نص مطبوع مؤلفين : De Rugy,Marie, مؤلف تاريخ النشر : 2016 مقالة في الصفحة: P37-P52 اللغة : Français (moyen) (frm) خلاصة : Si l'antagonisme franco-anglais dans la péninsule indochinoise est bien connu, les coopérations internationales et particulièrement les collaborations entre les différents services géographiques n'ont guère été étudiées. Elles constituent l'objet de cet article, dont l'enjeu est de montrer que la cartographie n'est pas seulement un ferment de discorde mais peut être un véritable instrument diplomatique. Les nécessités scientifiques de la géodésie produisent des échanges bilatéraux, tandis que la présence d'un Britannique à la tête du Service géographique siamois interpelle sur la réalité de la mainmise anglaise au Siam. Les échanges institutionnels entre les services géographiques pourraient enfin constituer les prémices d'une diplomatie culturelle. La géographie ne sert donc pas qu'à faire la guerre.
in Relations internationales > 167 (Trimestrielle) . - P37-P52[مقالة] La géographie, un outil diplomatique ? Rivalités impériales et collaborations internationales dans le nord de la péninsule indochinoise (fin xix e - début xx e siècles) [نص مطبوع ] / De Rugy,Marie, مؤلف . - 2016 . - P37-P52.
اللغة : Français (moyen) (frm)
in Relations internationales > 167 (Trimestrielle) . - P37-P52
خلاصة : Si l'antagonisme franco-anglais dans la péninsule indochinoise est bien connu, les coopérations internationales et particulièrement les collaborations entre les différents services géographiques n'ont guère été étudiées. Elles constituent l'objet de cet article, dont l'enjeu est de montrer que la cartographie n'est pas seulement un ferment de discorde mais peut être un véritable instrument diplomatique. Les nécessités scientifiques de la géodésie produisent des échanges bilatéraux, tandis que la présence d'un Britannique à la tête du Service géographique siamois interpelle sur la réalité de la mainmise anglaise au Siam. Les échanges institutionnels entre les services géographiques pourraient enfin constituer les prémices d'une diplomatie culturelle. La géographie ne sert donc pas qu'à faire la guerre.