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« Et je lui dis d'écouter ses pieds... » Écrire pour parler ceux qui ne parlent pas / Artus,Patrick in Vie sociale, 9 (Trimestrielle)
[مقالة]
عنوان : « Et je lui dis d'écouter ses pieds... » Écrire pour parler ceux qui ne parlent pas نوع الوثيقة : نص مطبوع مؤلفين : Artus,Patrick, مؤلف ; Aubert, Tiphaine, مؤلف ; Terral, Daniel, مؤلف تاريخ النشر : 2015 مقالة في الصفحة: P53-P64 اللغة : فرنسي (fre) الكلمة المفتاح : parole, écoute, écriture, récit خلاصة : Accueillant des enfants gravement handicapés, totalement dépendants, aux pathologies certaines fois létales, les auteurs ont entrepris de parler à ces enfants-là - qui dans leur quasi-totalité ne parlent pas eux-mêmes - de ce qui fait le tragique de leur vie et de laquelle on ne peut sûrement pas dire qu'ils s'en sont absentés. « Racontant, contant seulement peut-être, ils nous donnent à voir ou à pressentir un autre univers où la vie est possible au-delà de l'implacable raison commune où tout autre est infâme et dont le mitoyen nous échappe. » Dans l'écriture de ces récits et notre lecture se dessinent alors les contours d'un « lieu pour vivre ».
in Vie sociale > 9 (Trimestrielle) . - P53-P64[مقالة] « Et je lui dis d'écouter ses pieds... » Écrire pour parler ceux qui ne parlent pas [نص مطبوع ] / Artus,Patrick, مؤلف ; Aubert, Tiphaine, مؤلف ; Terral, Daniel, مؤلف . - 2015 . - P53-P64.
اللغة : فرنسي (fre)
in Vie sociale > 9 (Trimestrielle) . - P53-P64
الكلمة المفتاح : parole, écoute, écriture, récit خلاصة : Accueillant des enfants gravement handicapés, totalement dépendants, aux pathologies certaines fois létales, les auteurs ont entrepris de parler à ces enfants-là - qui dans leur quasi-totalité ne parlent pas eux-mêmes - de ce qui fait le tragique de leur vie et de laquelle on ne peut sûrement pas dire qu'ils s'en sont absentés. « Racontant, contant seulement peut-être, ils nous donnent à voir ou à pressentir un autre univers où la vie est possible au-delà de l'implacable raison commune où tout autre est infâme et dont le mitoyen nous échappe. » Dans l'écriture de ces récits et notre lecture se dessinent alors les contours d'un « lieu pour vivre ».