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مؤلف K. Charlot |
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Effets de l'entraînement à jeun sur la VO2 , l'oxydation des lipides et la performance aérobie chez des jeunes hommes modérément entraînés / K. Charlot in Science et sports., 3 (Bimestriel)
[مقالة]
عنوان : Effets de l'entraînement à jeun sur la VO2 , l'oxydation des lipides et la performance aérobie chez des jeunes hommes modérément entraînés Titre original : Effects of training in the fasted state on , fat oxidation and aerobic performance in moderately trained young men نوع الوثيقة : نص مطبوع مؤلفين : K. Charlot, مؤلف ; A. Pichon, مؤلف ; D. Chapelot, مؤلف تاريخ النشر : 2016 مقالة في الصفحة: P166-P171 اللغة : فرنسي (fre) Anglais moyen (ca.1100-1500) (enm) الكلمة المفتاح : Time-trial, FATmax, Performance, Nutrition, Métabolisme خلاصة : Introduction Notre objectif était de déterminer si l'entraînement à jeun améliorait l'effet d'un programme d'entraînement de volume restreint sur la consommation maximale d'oxygène VO2 ( ), l'oxydation des lipides et la performance en endurance comparé à un entrainement réalisé à l'état nourri chez de jeunes hommes modérément entraînés. Synthèse des faits et résultats Seize sujets se sont entraînés 3 fois par semaine pendant 6 semaines à jeun (FAST, n=8) ou à l'état nourri (FED, n=8). L'entraînement était composé chaque semaine de deux sessions continues de 40min (70 % de VO2 ) et d'une session intermittente (huit périodes de 2min à 85 % de VO 2 ). La performance était évaluée par un 3000m sur tapis roulant réalisé juste après un exercice de 60min à l'état-stable à 60 % VO2 de . La VO2 a augmenté dans les 2 groupes (+9,0 et 3,9 % chez FAST et FED, respectivement ; effet entraînement : p=0,042) et une interaction entraînement × groupe approchait seulement le seuil de significativité (p=0,081). L'oxydation des lipides pendant l'exercice de 60min à l'état-stable et la capacité à oxyder des lipides (FATmax) n'étaient pas modifiées par l'entraînement. La durée pour parcourir 3000m était diminuée dans les 2 groupes (−12,0 et 6,6 % chez FAST et FED, respectivement ; effet entraînement : p<0,001). Conclusion Ainsi, quand un programme d'entraînement de volume réduit est planifié, réaliser les sessions à jeun ne semble pas apporter d'effets additionnels sur les modifications de la puissance et de la performance aérobies induites par l'entraînement. Les composantes de l'oxydation des lipides ne sont pas modifiées par cet entraînement qu'il soit réalisé à jeun ou à l'état nourri.
in Science et sports. > 3 (Bimestriel) . - P166-P171[مقالة] Effets de l'entraînement à jeun sur la VO2 , l'oxydation des lipides et la performance aérobie chez des jeunes hommes modérément entraînés = Effects of training in the fasted state on , fat oxidation and aerobic performance in moderately trained young men [نص مطبوع ] / K. Charlot, مؤلف ; A. Pichon, مؤلف ; D. Chapelot, مؤلف . - 2016 . - P166-P171.
اللغة : فرنسي (fre) Anglais moyen (ca.1100-1500) (enm)
in Science et sports. > 3 (Bimestriel) . - P166-P171
الكلمة المفتاح : Time-trial, FATmax, Performance, Nutrition, Métabolisme خلاصة : Introduction Notre objectif était de déterminer si l'entraînement à jeun améliorait l'effet d'un programme d'entraînement de volume restreint sur la consommation maximale d'oxygène VO2 ( ), l'oxydation des lipides et la performance en endurance comparé à un entrainement réalisé à l'état nourri chez de jeunes hommes modérément entraînés. Synthèse des faits et résultats Seize sujets se sont entraînés 3 fois par semaine pendant 6 semaines à jeun (FAST, n=8) ou à l'état nourri (FED, n=8). L'entraînement était composé chaque semaine de deux sessions continues de 40min (70 % de VO2 ) et d'une session intermittente (huit périodes de 2min à 85 % de VO 2 ). La performance était évaluée par un 3000m sur tapis roulant réalisé juste après un exercice de 60min à l'état-stable à 60 % VO2 de . La VO2 a augmenté dans les 2 groupes (+9,0 et 3,9 % chez FAST et FED, respectivement ; effet entraînement : p=0,042) et une interaction entraînement × groupe approchait seulement le seuil de significativité (p=0,081). L'oxydation des lipides pendant l'exercice de 60min à l'état-stable et la capacité à oxyder des lipides (FATmax) n'étaient pas modifiées par l'entraînement. La durée pour parcourir 3000m était diminuée dans les 2 groupes (−12,0 et 6,6 % chez FAST et FED, respectivement ; effet entraînement : p<0,001). Conclusion Ainsi, quand un programme d'entraînement de volume réduit est planifié, réaliser les sessions à jeun ne semble pas apporter d'effets additionnels sur les modifications de la puissance et de la performance aérobies induites par l'entraînement. Les composantes de l'oxydation des lipides ne sont pas modifiées par cet entraînement qu'il soit réalisé à jeun ou à l'état nourri.